15/03/2011
Grasse mat ! Puis on prépare les sacs pour la rando.
On loue un scooter pour la journée (350 Nrp). On récupère nos cartes TIM (le droit de randonner =1450 Nrp). Tour du vieux Pokhara et des quelques maisons aux fenêtres ouvragées. La ville est beaucoup plus calme que n’importe quelle ville indienne : pas de concert de klaxon, pas de circulation effrénée, pas de bousculades dans les rues.
Repas au bord du lac à côté d’un débarcadère : c’est l’heure où les écoliers rentrent à la maison ; ceux dont la demeure est de l’autre côté du lac, prennent leur barque et s’en vont le traverser à la rame.
On longe la rive nord du lac : mélange de fermes traditionnelles et de lodges/restaurants. L’urbanisation empiète ces terres rudement gagnées pour de maigres cultures.
Au retour, on s’arrête pour s’approcher d’une scène de tournage d’un film (aux modestes moyens) : un couple d’ « amoureux » se convoite sur fond de danseuses en costume traditionnel et du fameux lac. Il s’agit de perpétuer les traditions gorkha, selon un des cinéastes. Les filles sont très fières de poser devant mon objectif.
On tente une virée au village perché de Sarangkot pour voir le soleil se coucher sur la chaîne des Annapurna, mais le ciel est irrémédiablement bouché : au péage, on a payé cinquante roupies le droit de voir les nuages…
Derniers achats. Repas dans une gargote où on discute avec une Française de son expérience dans l’ABC. Bons tuyaux.