05/01/2008

J’ai dû réveiller le loueur de scooter qui pionçait encore à 7h30 dans son magasin. Pourtant, ici, tout le monde est debout dès 6h, au lever du soleil !

Et celui-ci est de retour ! Voilà que j’attrape un coup de soleil aux avant-bras ! Je fais le tour de l’ile dans le sens des aiguilles d’une montre. Villages, marchés, champs, etc… parfois quelques pistes encore boueuses, partout des gens souriant, m’interpellant par de grands gestes. Il y a une coutume sympa ici, ce sont les petits kiosques en bambous, aménagés aux abords des villages et où des gens se reposent ou discutent, voire trinquent. Plus d’une fois on m’a invité boire un coup, mais …  tôt le matin et dans cette chaleur… En parcourant les plateaux de l’ile, on voit souvent les mêmes formations des Chocolates Hills.

Je visite un hôtel recommandé par le guide LP et je le trouve super.

Attention, j’ai un grand couteau

C’est un ensemble de bungalows solides et bien aménagés, au bord d’une grosse rivière encastrée dans une vallée profonde et recouverte de végétation. Calme absolu interrompu seulement par le cri de geckos et des oiseaux. Par la route il faut prendre un chemin d’un km cabossé ou boueux. Donc c’est très isolé. Habituellement, on y arrive par la rivière lorsque celle-ci n’est pas en crue comme actuellement. Et pas cher : 500P !

Comme il faisait beau, je retourne au Centre de protection des tarsiers et je m’applique à faire des photos un peu plus correctes que l’autre jour.